Quelques tweets épinglés que j’ai aimés et d’autres… bêtes et gratuits.
Quand la police redore son blason avec humour, on aurait presque envie de payer ses contraventions 🙂
Contexte :
La police belge, qui menait une opération d’envergure dans le centre de Bruxelles, a demandé aux médias de ne plus relayer d’informations via les réseaux sociaux. En recourant au hashtag #BrusselsLockdown, les internautes ont alors commencé à brouiller les pistes des personnes poursuivies qui utiliseraient les réseaux sociaux pour pister les policiers, en photographiant leurs chats avec humour, parfois bien belche, une fois.
Le Chat de P. Geluck sur Twitter
Les remerciements de la police sur Twitter
La police remercie les internautes qui ont joué au chat et à la souris
Quand réseau social prend tout son sens… celui du lien et de l’échange !
Un message très touchant d’Alexandra, avec qui je suis en lien sur Twitter… et pas que 😉
Une photo spontanée déchaîne le sarcasme sur les réseaux à grands coups de hashtag #badbuzz. Quel intérêt ? Faut-il donc détruire pour se démarquer ? Pourquoi ricaner de tout, gratuitement, avec sarcasme, plutôt que d’élever un réseau constructif dans un esprit collaboratif ?
Les tweets ricanent et se relayent… C’est gratuit, déchaînez-vous ?
Il est vrai que les faits divers sordides vendent mieux que la beauté du quotidien. Faut-il donc nourrir cette communication de bas étage ? A qui la faute ? A la presse qui les publie ou aux personnes qui les achètent ?
Et si on arrêtait de les lire et de les relayer, ces communications nocives… ?
En réponse au précédent. Je l’aime.
Parce qu’il prend position, et vole courageusement à contre-courant d’un nuage de rapaces.
Faut-il dénoncer le sarcasme ?
… à méditer…
Commentaires des lecteurs
Comment by Jean-Marc Hardy — 9 February 2016
Je partage totalement vos valeurs. On se connaît ? 😉
Comment by Isabelle Canivet — 9 February 2016
Oui, et on s’est reconnu 😉