Le Nielsen Norman Group vient de publier une étude sur l’impact des variations de tonalité éditoriale (“tone of voice”).
Nielsen envisage quatre curseurs éditoriaux :
Les pages testées :
C’est la crédibilité qui semble la plus impactée par votre tonalité. Et, à son tour, elle influence fortement la “désirabilité” de la marque.
Le ton léger et informel peut être un “plus”, lorsqu’il n’égratigne pas votre crédibilité, ou un sérieux “moins”, lorsque l’humour n’est plus compris que par vous.
Le “tone of voice” reste une affaire complexe, comme le souligne les auteurs, mais son impact sur le désir d’entrer en contact avec votre entreprise n’est plus à démontrer.
L’art d’écrire pour le web reste, à nos yeux aussi, une question de curseur : mettre du coeur, de l’enthousiasme, de l’empathie, de la légèreté, du relationnel… sans jamais perdre en rigueur, en crédibilité, en authenticité, en pudeur. L’arme ultime du rédacteur ne serait pas la psychologie avant même le style ?
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